Tous les étudiant·e·s et personnes qui en ressentent le besoin. Dans mon cas, je suis réfugié·e, demandeur·euse d’asile ou bénéficiaire d’une protection, et je veux reprendre des études à l’université ou en école et j’en ai le droit. Je cherche des solutions pour manger à petit prix : épiceries solidaires, cantines étudiantes, distributions alimentaires.

Dans ma ville, près de mon université ou en lien avec des associations étudiantes.

Je peux en bénéficier pendant toute l’année universitaire, parfois dès la rentrée.

Je peux contacter les services sociaux de mon établissement ou le CROUS pour qu’ils puissent m’orienter vers des solutions adaptées à ma situation.

Je peux m’inscrire dans une épicerie solidaire étudiante (souvent, ces formulaires sont en ligne ou sur dossier simple).

Je peux demander de l’aide à une association (comme la Croix-Rouge, les Restos du Cœur ou Linkee).

Pour les cantines universitaires, je peux avoir un repas à 1 € si je suis boursier·e ou en grande précarité (si je bénéficie de la bourse sur critères sociaux)

Dans les épiceries solidaires : je paie environ 10 à 20 % du prix réel.

Cantine universitaire (RU) : 1 € par repas si je suis éligible.

Parfois, des repas ou colis sont gratuits selon ma situation. Je peux aussi, sur mon téléphone, télécharger des applications axée sur l’antigaspillage (HopHopFood, Happy Toque). Ce sont des invendus à prix très bas ou gratuits. Attention, je dois regarder les allergènes et voir selon mon régime alimentaire avant d’acheter.

Parce que manger à sa faim est essentiel pour bien étudier. Ces aides m’aident à garder un bon équilibre de vie et à me concentrer sur mes études, même si je n’ai pas beaucoup d’argent.